Mindy Robertson a certainement berné les auditeurs du clip "Get Out", mais c'est quelques mois plus tard que des révélations de son père Timothy viennent mettre à mal l'intégrité déjà discutable de l'artiste underground qu'est Dmon Face .
Après avoir été accusée d'apologie du racisme et de la haine, l'interprète de "Welcome to Hell" s'est vu boycotter par une partie de l'industrie de la musique avant que le rappeur Vanilla Vice ne lui tende la main avec son label "Vice Records ".
Mais c'était sans se douter que Timothy Robertson porterait sa voix en direction de notre magazine, décrivant le choc qu'il a eu en découvrant sa fille mineure se trémousser dans un clip. Selon lui, le rappeur aurait influencé Mindy en la poussant à consommer des drogues avant de la sexualiser dans son clip. Il décrit la jeune femme comme une demoiselle particulièrement influençable et crédule.
La jeune femme, elle, a bien voulu reconnaître son apparition dans la vidéo aux millions de vues. Elle dit également que Dmon avait parfaitement connaissance du fait qu'elle n'était pas majeure au moment du tournage.
Un grand nombre de questions subsiste : comment est-il possible que personne n'ait pointé du doigt le scandale plus tôt ?
Mindy et son père essaieraient-ils de tirer profit de la réussite financière de l'artiste en se manifestant après qu'il ait fait son trou dans l'industrie ?
Le père de la mineure se dit, pour sa part, hors de lui, et envisage de porter plainte contre l'artiste, réclamant des dommages et intérêts faramineux, pendant que cette affaire est décryptée par les médias, dépeignant le rappeur comme un odieux personnage pervers et irresponsable.
Va-t-il se relever de ce scandale ? Ce n'est plus son label qui va pouvoir lui porter assistance dans ce déferlement médiatique, puisque Vanilla Vice est toujours porté disparu. Mais alors, serait-ce une véritable fin de carrière pour l'artiste qui se revendique représenter l’Amérique blanche ?
En attendant, son clip a été déprogrammé sur plusieurs chaînes musicales, se disant vouloir se désolidariser de l'artiste polémique, lui imputant une part de ses royalties.
Après avoir été accusée d'apologie du racisme et de la haine, l'interprète de "Welcome to Hell" s'est vu boycotter par une partie de l'industrie de la musique avant que le rappeur Vanilla Vice ne lui tende la main avec son label "Vice Records ".
Mais c'était sans se douter que Timothy Robertson porterait sa voix en direction de notre magazine, décrivant le choc qu'il a eu en découvrant sa fille mineure se trémousser dans un clip. Selon lui, le rappeur aurait influencé Mindy en la poussant à consommer des drogues avant de la sexualiser dans son clip. Il décrit la jeune femme comme une demoiselle particulièrement influençable et crédule.
La jeune femme, elle, a bien voulu reconnaître son apparition dans la vidéo aux millions de vues. Elle dit également que Dmon avait parfaitement connaissance du fait qu'elle n'était pas majeure au moment du tournage.
Un grand nombre de questions subsiste : comment est-il possible que personne n'ait pointé du doigt le scandale plus tôt ?
Mindy et son père essaieraient-ils de tirer profit de la réussite financière de l'artiste en se manifestant après qu'il ait fait son trou dans l'industrie ?
Le père de la mineure se dit, pour sa part, hors de lui, et envisage de porter plainte contre l'artiste, réclamant des dommages et intérêts faramineux, pendant que cette affaire est décryptée par les médias, dépeignant le rappeur comme un odieux personnage pervers et irresponsable.
Va-t-il se relever de ce scandale ? Ce n'est plus son label qui va pouvoir lui porter assistance dans ce déferlement médiatique, puisque Vanilla Vice est toujours porté disparu. Mais alors, serait-ce une véritable fin de carrière pour l'artiste qui se revendique représenter l’Amérique blanche ?
En attendant, son clip a été déprogrammé sur plusieurs chaînes musicales, se disant vouloir se désolidariser de l'artiste polémique, lui imputant une part de ses royalties.
Mindy Robertson a certainement berné les auditeurs du clip "Get Out", mais c'est quelques mois plus tard que des révélations de son père Timothy viennent mettre à mal l'intégrité déjà discutable de l'artiste underground qu'est [CWBSenior] .
Après avoir été accusée d'apologie du racisme et de la haine, l'interprète de "Welcome to Hell" s'est vu boycotter par une partie de l'industrie de la musique avant que le rappeur Vanilla Vice ne lui tende la main avec son label "[vicerecords] ".
Mais c'était sans se douter que Timothy Robertson porterait sa voix en direction de notre magazine, décrivant le choc qu'il a eu en découvrant sa fille mineure se trémousser dans un clip. Selon lui, le rappeur aurait influencé Mindy en la poussant à consommer des drogues avant de la sexualiser dans son clip. Il décrit la jeune femme comme une demoiselle particulièrement influençable et crédule.
La jeune femme, elle, a bien voulu reconnaître son apparition dans la vidéo aux millions de vues. Elle dit également que Dmon avait parfaitement connaissance du fait qu'elle n'était pas majeure au moment du tournage.
Un grand nombre de questions subsiste : comment est-il possible que personne n'ait pointé du doigt le scandale plus tôt ?
Mindy et son père essaieraient-ils de tirer profit de la réussite financière de l'artiste en se manifestant après qu'il ait fait son trou dans l'industrie ?
Le père de la mineure se dit, pour sa part, hors de lui, et envisage de porter plainte contre l'artiste, réclamant des dommages et intérêts faramineux, pendant que cette affaire est décryptée par les médias, dépeignant le rappeur comme un odieux personnage pervers et irresponsable.
Va-t-il se relever de ce scandale ? Ce n'est plus son label qui va pouvoir lui porter assistance dans ce déferlement médiatique, puisque Vanilla Vice est toujours porté disparu. Mais alors, serait-ce une véritable fin de carrière pour l'artiste qui se revendique représenter l’Amérique blanche ?
En attendant, son clip a été déprogrammé sur plusieurs chaînes musicales, se disant vouloir se désolidariser de l'artiste polémique, lui imputant une part de ses royalties.