Il ne lui avait pas suffi de se placer en tête des charts avec son entêtant titre "LadiesWorld". Raykeea Meritt, de son vrai nom, a bouleversé l'industrie musicale il y a quelques mois.
Portée par son label
Nasty Hood Lemonade , elle s'impose comme l'une des rares rappeuses de la scène actuelle de Los Santos. S'autoproclamant "queen" du milieu, elle a été formée à la provocation par son label. Se disant n'avoir rien eu d'autre à faire, elle a mis en ligne une vidéo de freestyle intitulée "They Won't Like It... Y’all Ain’t Gon Get Tired of Me", un titre qui annonce d'emblée la couleur.
La vidéo, sobrement filmée dans sa cuisine, expose la rappeuse en herbe dans un jean moulant des plus révélateurs. Mais ce n'est pas sa plastique qui va le plus faire parler, puisque
Raadamenace enchaîne les punchlines assassines. Tout y passe. Elle commence d'abord par se proclamer naturelle, envoyant un coup de chassé à toutes les femmes refaites qui pullulent dans l'industrie et sur les réseaux.
Son deuxième tacle est destiné à une certaine "Mencia", un prénom déjà mentionné dans le single "BEHIND THE MASK" de l'artiste du même label,
Sierra . Un hasard ? Peut-être pas. L'organisatrice de festival raté semble toujours dans le viseur direct du label NHL, mais les nombreuses références faites à sa sexualité débridée et déviante pourraient bien être le reflet de véritables rumeurs. Raadamenace lance un appel direct en déclarant dans ses paroles crues : "J'ai un mec là, il peut la baiser pour moi", une situation qui mériterait d'être éclaircie par l'artiste, qui ne s'est pas encore exprimée à ce sujet.
Un autre coup de couteau est porté à l'artiste
Dmon Face, se moquant de sa réapparition dans les médias après une fausse mort médiatisée. Dans ses paroles : "Qu'il soit mort ou pas, Blaine, c'est qui déjà ?", la rappeuse fait comprendre qu'elle ne le considère pas comme un artiste valable de la scène musicale actuelle. Un message assez direct qui ne tardera pas à faire réagir l'intéressé sur ses réseaux, précisant que le son de Raadamenace est "éclaté".
Un détour est fait visant "Evil", évoquant une histoire de droits d'auteur, peut-être les prémices d'un conflit interne dans l'industrie où de nombreux acteurs de la scène n'hésitent pas à se voler des productions pour briller devant la caméra.
Mais son dernier couplet vise le rappeur
Mr.Hopout , en invoquant une "fin de carrière" dans laquelle elle ne serait pas innocente. Alors, Raada aurait-elle les moyens d'éteindre l'étoile montante du rap ? Il n'as pas non plus réagis au clash, préférant partager des images de femmes en petites tenues, une indifférence qui interroge.
Affaire à suivre sur Crispy...
Il ne lui avait pas suffi de se placer en tête des charts avec son entêtant titre "LadiesWorld". Raykeea Meritt, de son vrai nom, a bouleversé l'industrie musicale il y a quelques mois.
Portée par son label [NHL] , elle s'impose comme l'une des rares rappeuses de la scène actuelle de Los Santos. S'autoproclamant "queen" du milieu, elle a été formée à la provocation par son label. Se disant n'avoir rien eu d'autre à faire, elle a mis en ligne une vidéo de freestyle intitulée "They Won't Like It... Y’all Ain’t Gon Get Tired of Me", un titre qui annonce d'emblée la couleur.
La vidéo, sobrement filmée dans sa cuisine, expose la rappeuse en herbe dans un jean moulant des plus révélateurs. Mais ce n'est pas sa plastique qui va le plus faire parler, puisque [flootdamenaceshi] enchaîne les punchlines assassines. Tout y passe. Elle commence d'abord par se proclamer naturelle, envoyant un coup de chassé à toutes les femmes refaites qui pullulent dans l'industrie et sur les réseaux.
Son deuxième tacle est destiné à une certaine "Mencia", un prénom déjà mentionné dans le single "BEHIND THE MASK" de l'artiste du même label, [sierrah] . Un hasard ? Peut-être pas. L'organisatrice de festival raté semble toujours dans le viseur direct du label NHL, mais les nombreuses références faites à sa sexualité débridée et déviante pourraient bien être le reflet de véritables rumeurs. Raadamenace lance un appel direct en déclarant dans ses paroles crues : "J'ai un mec là, il peut la baiser pour moi", une situation qui mériterait d'être éclaircie par l'artiste, qui ne s'est pas encore exprimée à ce sujet.
Un autre coup de couteau est porté à l'artiste [CWBSenior], se moquant de sa réapparition dans les médias après une fausse mort médiatisée. Dans ses paroles : "Qu'il soit mort ou pas, Blaine, c'est qui déjà ?", la rappeuse fait comprendre qu'elle ne le considère pas comme un artiste valable de la scène musicale actuelle. Un message assez direct qui ne tardera pas à faire réagir l'intéressé sur ses réseaux, précisant que le son de Raadamenace est "éclaté".
Un détour est fait visant "Evil", évoquant une histoire de droits d'auteur, peut-être les prémices d'un conflit interne dans l'industrie où de nombreux acteurs de la scène n'hésitent pas à se voler des productions pour briller devant la caméra.
Mais son dernier couplet vise le rappeur [mr.hopout] , en invoquant une "fin de carrière" dans laquelle elle ne serait pas innocente. Alors, Raada aurait-elle les moyens d'éteindre l'étoile montante du rap ? Il n'as pas non plus réagis au clash, préférant partager des images de femmes en petites tenues, une indifférence qui interroge.
Affaire à suivre sur Crispy...